"Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi" de Katherine PANCOL
Edition : Le livre de poche
Nombre de pages : 960
Genre : Roman
Quatrième de couverture :
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident. Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails. Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue… Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi…
Mon avis :
ça fait à peu près 10 jours que je l'ai terminé, je n'ai pas fait ma critique tout de suite et je m’aperçois qu'il ne m'en reste vraiment pas grand chose. Autant j'ai adoré les deux premiers opus autant là j'ai eu beaucoup de mal à entrer dedans. J'y ai trouvé beaucoup de longueurs, j'ai parfois été tentée de sauter des pages.
J'ai eu un gros coup de coeur pour les précédents tomes, mais celui-là aura été un flop avec moi.